La honte. La vraie. Connerie de merde et c’est le cas de le dire.
J’dis ça, je dis rien. Bof. Sincèrement j’ose espérer que ça n’arrive pas qu’à moi même si malheureusement je suis probablement la seule qui osera le dire tout haut….
J’ai fait (ou plutôt mon corps à laissé échappé) un gaz silencieux ultra-puantissime à la caisse du Jean-Couteux. Le style de pet que tu fais semblant de ne pas avoir fait mais qui sens tellement fort que la caissière peut pas s’empêcher de rougir à force de retenir son souffle. Le genre de flatulence que tu espère n’être qu’un vent. Le genre de rot anal que tu renonce à contenir de peur de décharger une merde plutôt qu’une bourrasque. M’enfin. Vous voyez l’image… Tu vois l’image, dis?
La honte disais-je.
Tu veux que j’en ajoute? Le genre de pet qui te fait enfin! t’écrouler sur la cuvette. Avec manteau, foulard et sac à main encore sur l’épaule.
Tu en veux plus? Le genre de gaz qui t’étourdit et te donne la nausée si tu l’as fait dans ta voiture. Et qui t’oblige à baisser les vitres, même à -40°C.
Non mais avoue que tu n’as pas encore compris l’ampleur de la puanteur de ce pet là. Sérieusement, imagine la poubelle à couche de ton marmot, trop pleine et multiplie par 1000 disons. Et là, là maintenant, là tu comprends.
La honte!
